La présentation
La finalité de la formation est de former des professionnel·les capables d’accompagner et de prendre soin des enfants, de la naissance à l’adolescence, en assurant leur bien-être, leur sécurité et leur développement global, dans le respect des dimensions éthiques, humaines et juridiques de la profession.
La certification définie par l’arrêté du 10 juin 2021 répond aux évolutions du rôle de l’auxiliaire de puériculture. En tant que professionnel·le de santé, l’auxiliaire de puériculture participe à l’accompagnement de l’enfant dans les actes de la vie quotidienne, au sein d’équipes pluridisciplinaires et en collaboration avec les infirmier·es, les puéricultrices et les éducatrices de jeunes enfants. L’auxiliaire de puériculture contribue au développement, à l’éveil, à la socialisation et à la santé de l’enfant, dans une dynamique de co-construction avec les familles et dans le cadre d’une responsabilité partagée.
Les services
Les objectifs
Le diplôme d’État d’Auxiliaire de Puériculture atteste de l’acquisition des compétences requises pour exercer la profession et de la validation des 5 blocs de compétences suivants :
- Bloc 1 : Accompagnement et soins de l’enfant dans les activités de la vie quotidienne et de la vie sociale
- Bloc 2 : Évaluation de l’état clinique et mise en œuvre de soins adaptés en collaboration
- Bloc 3 : Information et accompagnement des personnes et de leur entourage, des professionnel·les et des apprenant·es
- Bloc 4 : Entretien de l’environnement immédiat de la personne et des matériels liés aux activités, en tenant compte du lieu et des situations d’intervention
- Bloc 5 : Travail en équipe pluri-professionnelle et traitement des informations liées aux activités de soins, à la qualité et gestion des risques
Mobilité et évolution
La mobilité est courante, d’une structure à une autre, ou d’un service à un autre au sein d’un même établissement.
Avec 3 ans d’expérience, les auxiliaires de puériculture peuvent s’inscrire au concours des IFSI (instituts de formation en soins infirmiers) ou préparer un DE (diplôme d’État) d’aide-soignante, d’accompagnante éducative et sociale ou encore d’éducatrice de jeunes enfants.
